Il y a des moments où la vie vous arrête net face à un nouveau départ à prendre.
Pas dans le fracas, mais dans un silence intérieur qui vous surprend.
Vous regardez ce travail, ce couple, ce quotidien… et soudain, la question que vous aviez réussi à tenir à distance revient frapper à votre porte :
Qu’est-ce que je fais encore là ?
Une évidence difficile à reconnaitre
On croit toujours pouvoir attendre encore un peu.
On se convainc que ça passera, que demain sera différent, qu’il suffit d’ajuster un détail.
Alors on continue, on s’adapte, on se tait.
On perd de vue l’important.
On s’épuise.
Le Dalaï Lama le résume simplement :
« Ce qui me surprend le plus dans l’humanité ? Les hommes… parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite, ils perdent leur argent pour recouvrer la santé. Et ils se perdent dans d’anxieuses pensées sur le futur au point de ne plus vivre ni le présent ni le futur. Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir… et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu. »
Vous sentez peut-être que ce que vous vivez n’est plus soutenable.
Que cette route que vous empruntez depuis des années ne mène plus là où vous espériez aller.
Ce que l’on regrette toujours… trop tard
Vous n’êtes pas seul·e.
Ce que vous traversez, d’autres avant vous l’ont vécu.
Bronnie Ware, infirmière en soins palliatifs, a recueilli les confidences des personnes en fin de vie.
Le regret qui revenait le plus souvent n’avait rien à voir avec une carrière ou des possessions.
Il ressemblait plutôt à ceci :
« J’aurais aimé avoir le courage de vivre la vie que je voulais vraiment, pas celle que les autres attendaient de moi. »
Ce regret, vous l’entendez peut-être déjà.
Vous pouvez y remédier dès maintenant, sans attendre qu’il ne soit trop tard.
Pourquoi ce malaise ?
Ce n’est pas que vous manquez d’effort ou de courage.
C’est simplement que vous continuez à avancer comme si vous étiez encore la personne d’hier alors qu’au fond, vous savez que vous avez déjà changé.
C’est ce décalage qui vous fatigue.
Pas la difficulté de la route.
C’est simplement que cette route ne vous ressemble plus.
C’est ainsi que tout commence.
Pas dans un plan parfait.
Pas dans un grand bouleversement.
Juste dans la reconnaissance tranquille que vous n’avez plus à forcer ce qui ne sonne plus juste.
Quand vient le moment
Marie, 42 ans, croyait devoir tenir encore.
Elle a fini par admettre qu’elle ne se reconnaissait plus dans la vie qu’elle menait.
Aujourd’hui, elle habite en province, proche de l’océan et mène une activité alignée avec ce qu’elle est devenue.
William, 50 ans, a quitté un poste prestigieux pour ralentir et se retrouver.
Il m’a dit un jour, dans un sourire :
« Ce n’est pas que je n’étais pas capable de continuer. C’est juste que ce n’était plus moi. »
Ce ne sont pas des parcours héroïques.
Juste des choix plus vrais.
Plus proches d’eux-mêmes.
Et vous ?
Il n’y a rien à réparer.
Rien à rattraper.
Rien à prouver.
Il y a simplement à écouter ce qui est déjà là.
Et à laisser cette vérité vous guider pas à pas.
Si vous sentez qu’il est temps d’y voir plus clair, je peux vous accompagner à nommer ce que vous portez déjà en vous… et à tracer un chemin qui vous ressemble.
Parce qu’au fond, il ne s’agit pas de changer votre vie.
Il s’agit juste de cesser de vous oublier.
Un temps d’échange pour y voir plus clair
Si cet article redonne en vous, prenons le temps de faire un point de votre situation ensemble lors d’un appel diagnostic gratuit, sans engagement, d’une heure.
Un espace pour mettre des mots sur ce que vous ressentez et explorer vos prochaines étapes possibles, en toute clarté.
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C’est souvent dans la première conversation que tout commence.
Et il suffit parfois de peu de choses pour voir enfin ce qui est déjà là.
